Rendez-vous ce dimanche avec votre nouvel opus de l’interview qui déraille. Aujourd’hui, c’est Christophe Prémont, coureur de la formation Vérandas Willems  qui se risque au jeu des questions/réponses. Membre de la formation belge depuis 2015, Christophe nous laisse en apprendre non sans humour, un peu plus sur lui !

Si tu étais un héros de ton enfance ?

Peter-Pan !

Quelle est la musique de ton portable dont tu as honte ?

On ne m’appelle pas, elle ne sonne donc jamais.

As-tu déjà vu Kiriyenka sourire ?

L’a-t-on déjà vu pousser moins de 400 watts ?

La situation la plus inédite que tu as connu en course ?

J’en ai déjà vu pas mal ! Des élans sur la route en Norvège, un troupeau de chèvres au Burkina Faso, et un chinois énervé de ne pas pouvoir traverser la route lors du passage de la course, qui a donc fait grève tout seul au milieu de la route ! Il s’est donc retrouvé au beau milieu du peloton.

Quel est ton surnom au sein de l’équipe ? 

Seul wallon parmi une équipe de flamands, j’en ai pas mal. Je ne les citerai pas tous ici et me contenterai de « copain wallon qu’on aime » !

Ton club de football favori ?

Standard de Liège, j’avais l’habitude d’aller régulièrement au stade il y a quelques années. Il reste mon club favori mais je suis moins intéressé par le football ces derniers temps !

Dieu créa la femme, qu’aurais-tu créé toi ? Pourquoi?

La semaine de 4 jours, une machine pour se téléporter et un estomac qui n’assimile pas les calories.

La pire situation où tu t’es senti seul ou ridicule?

Cela arrive à peu près tous les jours mais il faut pouvoir rire de soi même. Mais si je dois retenir un moment, je dirais lorsque j’ai appelé mes équipiers pour savoir où ils se trouvaient dans l’aéroport de Bruxelles et qu’ils m’ont répondu qu’ils étaient bien à Charleroi ! J’ai évidemment loupé mon vol, mais cela les as amusé, je n’ai donc pas perdu ma journée !

Pour toi, sucer la roue est-ce tromper?

Cela dépend du contexte, mais à priori, on peu tromper une fois mille personne, mais, non attendez, on peut tromper mille fois une personne mais on ne peut pas… (oui, j’aime les répliques de film !).

La pire fois où tu as déraillé ?

Il y a quatre heures, au pied du mur de Fayence au Tour du Haut Var, j’étais au beau milieu du peloton, en faisant de grands signes pour que personne ne viennent m’en…castrer par derrière !

Nous remercions Christophe Prémont pour sa disponibilité et lui souhaitons bonne chance pour le Tour du Haut Var .