Ce dimanche, rendez-vous avec le dix-huitième opus de l’interview qui déraille. Aujourd’hui, c’est Yoann Bagot coureur de la formation Cofidis qui se risque au jeu des questions/réponses. Membre de la formation d’Yvon Sanquer depuis 2011, le grimpeur originaire de Salon de Provence nous laisse en apprendre un peu plus sur lui.

Si tu étais un héros de ton enfance, qui serais-tu?
Quand j’étais petit mes héros étaient Haroun Tazieff et Cousteau.
Quelle est la musique de ton portable dont tu as honte?
Non, aucune.
As-tu déjà vu Kiriyenka sourire?
Non car il est tout devant à rouler, je ne le vois que de dos.
La situation la plus inédite que tu as connu en course?
En Estonie au Grand Prix de Tartu, je me suis arrêté dans les tourbières et ses moustiques pour subvenir à un besoin naturel suite à une intoxication alimentaire,  comme la moitié du peloton.
A quel coureur te comparerais-tu et pourquoi?
Je ne me compare à personne car cela n’apporte rien de bien constructif.
Quel est ton surnom au sein de l’équipe et pourquoi?
La bague car mon père était surnommé comme ça et cela m’a suivi.
Ton club de football favori?
Marseille!
Dieu créa la femme, qu’aurais-tu créé toi?
Ah bon c’est Dieu qui a créé la femme?
La pire situation où tu t’es senti seul ou ridicule?
En réunion parents professeurs, je n’avais pas exactement raconté à mes parents ce que les professeurs leur ont raconté…
Est-ce que sucer la roue, c’est tromper?
Non dans la mesure où on respecte les règles du jeu.
La pire fois où tu as déraillé?
J’ai failli gagner Paris Roubaix l’an dernier… J’ai déraillé à 2 km de l’arrivée et après, je me suis réveillé…
Nous remercions Yoann pour sa disponibilité !