« Bien sûr, il avait le dernier mot », a précisé le manager de Soudal-Quickstep dans sa chronique hebdomadaire

Patrick Lefevere a minimisé le rôle de l'équipe en encourageant Julian Alaphilippe à courir avec une tête fracturée du péroné depuis Strade Bianche, le manager de Soudal-Quickstep décrivant l'ancien champion du monde comme ayant « le dernier mot » dans sa décision de courir.

Alaphillipe a révélé qu'il courait avec une tête fracturée du péroné dans une interview avec Le Parisien plus tôt en avril, reflétant que « ce n'était pas une bonne décision de faire cela » et « j'aurais dû prendre soin de moi ».

Lefevere a ensuite été condamné à une amende avec sursis de la part de la commission d'éthique de l'UCI pour des propos jugés « désobligeants envers les femmes ». Le chef d'équipe s'est excusé publiquement, ce qui lui a permis d'éviter l'amende, mais doit éviter de répéter une infraction pendant trois ans sous peine de sanction similaire.