Météo, équipement et tactiques parmi les facteurs conduisant à un rythme record

Les diffuseurs et les organisateurs de courses dépendent des prévisions de vitesse moyenne pour les courses afin de planifier leurs programmes, mais au cours des dernières années, les Classiques de printemps se sont déroulées à des vitesses qui ont éclipsé même le rythme le plus rapide attendu.

Dimanche, Mathieu van der Poel (Alpecin-Deceuninck) a bouclé le parcours de 259,7 km de Paris-Roubaix en cinq heures, 25 minutes et 58 secondes, soit 15 minutes plus vite que prévu pour le vainqueur de la course.