Le Slovène admet qu'il aurait été heureux de perdre le maillot rose et d'éviter les « manigances » d'après-étape

Il serait exagéré de décrire le maillot rose comme un fardeau pour Tadej Pogačar, un homme qui flotte aimablement tout au long de sa vie cycliste comme s'il n'était en grande partie pas gêné par les effets de la gravité. Il y a cependant des aspects de la direction du Giro d'Italia dont il admet joyeusement qu'il pourrait se passer.

La nouveauté des cérémonies de podium et des tâches médiatiques d'après-course s'est depuis longtemps dissipée pour Pogačar, qui a passé la majeure partie de sa carrière à enfiler un maillot de leader ou un autre. Après avoir défendu le maglia rose sur les routes de gravier au sud de Sienne lors de l'étape 6, il a consciencieusement couru à travers le vacarme habituel des poignées de main moites et des bouchons de prosecco éclatés sur le podium, avant de relever le même vieux défi des équipes de télévision dans la zone mixte.