Le marché du vélo électrique urbain s’apprête à vivre une secousse : le Nakamura Crossover E, annoncé à moins de 1 000 euros, pourrait-il détrôner le géant Decathlon ? Si vous pensiez que trouver un VAE fiable, confortable et abordable relevait de l’utopie, détrompez-vous : la bataille fait rage sur le terrain de la mobilité électrique sans casser sa tirelire !

Le défi du VAE urbain à moins de 1 000 euros : Intersport relève le gant

Vouloir proposer un vélo à assistance électrique en dessous de la sacro-sainte barre des 1 000 euros, voilà un parcours du combattant digne d’un contre-la-montre sous la pluie. Après l’effort de Decathlon avec son Rockrider E-ACTV 100, polyvalent et accessible, Intersport entre dans la danse avec le Nakamura Crossover E. Ici, pas question de rester spectateur : ce nouveau modèle urbain se présente comme la réponse du tac au tac aux besoins quotidiens des cyclistes en quête de simplicité (et d’un peu d’air frais dans les cheveux, assistance comprise).

Le Crossover E ne sort pas de nulle part : il s’inscrit dans la lignée du Crossover E LTD, la fameuse « Limited », déjà animée par la volonté de rendre le vélo électrique urbain accessible au plus grand nombre. Cette nouvelle génération promet d’aller plus loin, avec pour mission de séduire un large public.

Cadre sur-mesure, sécurité et confort : les atouts du Nakamura Crossover E

Le secret de ce tour de force ? Un cadre ouvert et renforcé, taillé pour accueillir des cyclistes d’1,50 m à 1,85 m. Oui, vous avez bien lu ! Merci aux roues de 27,5 pouces, capables de jongler aisément entre petits et grands gabarits. De quoi voir venir tous les trajets urbains, peu importe votre taille.

Si le porte-bagages passe dans la colonne des options, Intersport ne fait pas de compromis sur l’essentiel : le Crossover E s’équipe de freins hydrauliques Shimano. Niveau sécurité et précision de freinage, difficile d’en demander plus dans cette catégorie de prix. Parce qu’on aime tous s’arrêter net au feu rouge… sans frayer avec la carrosserie des voitures !

Niveau fabrication, Intersport mise sur un assemblage made in France, réalisé dans l’usine MFC. Ce n’est pas qu’un effet d’annonce marketing : le fabricant montre ses muscles et affirme une réelle montée en puissance dans la production nationale. La marque s’illustre d’ailleurs aussi avec son futur VTTAE Nakamura E-Summit 990.

Moteur, autonomie et tarif : le vélo urbain pour tous… ou presque

Côté mécanique, pas de révolution mais une recette éprouvée : le moteur arrière de 45 Nm reste fidèle au poste, garantissant une assistance jusqu’à 25 km/h grâce à un capteur de rotation. On respire : pas de bouleversement technique en vue, l’essentiel est assuré !

Quant à la batterie amovible de 375 Wh, elle promet, toujours selon Intersport, jusqu’à 60 km d’autonomie en mode 1 sur 5. Traduction ? Semaine de pavés, pentes, et détour chez la boulangerie en perspective, sans se prendre la tête à recharger tous les deux jours.

Le lancement du Nakamura Crossover E est prévu pour début 2026, au tarif tranchant de 999 euros, dans un coloris unique. Un positionnement agressif qui, ajouté à l’équipement soigné, fait du Crossover E un concurrent sérieux pour le Rockrider E-ACTV 100 de Decathlon. L’offensive vise tous les fronts urbains : budget serré, fiabilité, confort, sécurité, le tout sans fioritures inutiles.

  • Cadre ouvert et renforcé pour cyclistes de 1,50 m à 1,85 m
  • Freins hydrauliques Shimano
  • Moteur arrière 45 Nm, assistance jusqu’à 25 km/h
  • Batterie amovible 375 Wh, jusqu’à 60 km d’autonomie (mode 1/5)
  • Assemblage en France, usine MFC
  • Disponible début 2026 à 999 euros

Le Crossover E va-t-il conquérir la ville… et votre cœur ?

En résumé, le Nakamura Crossover E arrive au moment idéal pour toutes celles et ceux qui rêvent d’un vrai VAE urbain, fiable, confortable et abordable. Il reste à savoir si la ville lui ouvrira les bras (et les pistes cyclables) et s’il saura séduire le cœur des cyclistes urbains engagés ou simplement curieux.

En attendant de pouvoir le tester dans les rues et les ruelles, une chose est sûre : la passion du vélo s’exprime, s’échange et se partage avec enthousiasme. Et si la rédaction vous inspire, pourquoi ne pas ajouter votre pierre à l’édifice cycliste ? La petite reine n’attend que vos coups de pédale… et vos mots pour faire avancer la passion !