Le futur du vélo électrique débarque avec fracas : après les routes, Rivian prend d’assaut la ville grâce à sa nouvelle filiale Also. Dans ses cartons ? Un vélo électrique TM-B à l’allure résolument futuriste, fidèle à l’esprit de son designer superstar Jony Ive et capable de secouer tout le marché… ou au moins d’allumer la curiosité de celles et ceux qui rêvent d’un deux-roues innovant et technophile. Promis, vous n’êtes pas prêts !
Une ambition made in USA et un design signé star
- Rivian, jusque-là connu pour ses SUV et pick-ups électriques, se lance dans la micromobilité avec sa filiale Also.
- Déjà 105 millions de dollars levés pour soutenir la cause (de quoi acheter pas mal de sonnettes, on ne va pas se mentir).
Le premier-né de cette aventure ? Le TM-B, un vélo électrique qui entend profiter du savoir-faire de Rivian en matière de motorisations, d’énergie et de systèmes de conduite intégrés. Every part is homemade : batterie, moteur, contrôleur… Tout est pensé maison pour garantir une intégration parfaite.
Le TM-B attire tous les projecteurs, notamment parce que Jony Ive (ex-star du design Apple) a collaboré au projet via son collectif LoveFrom. D’où ce surnom enflammé dans la presse : le futur « iPhone du vélo électrique ». Une référence galvaudée ? Peut-être, mais difficile de ne pas s’arrêter devant ce look atypique : énorme bloc carré autour du pédalier (batterie et motorisation incluses), cadre ouvert à hauteur moyenne pour enjamber facilement, roues 24 pouces bien larges pour rouler confort.
Technologie et modularité : entre promesses et ruptures
Ce vélo, c’est un peu le couteau suisse du cycliste urbain moderne :
- Amortisseur arrière relié à un bras oscillant pour la stabilité et le confort.
- Fourche avant suspendue (120 mm, fourreaux inversés pour une meilleure rigidité et réactivité).
- Freins à disque et éclairage intégré, clignotants compris, pour attirer l’œil sur la route (et sur vos mollets !).
- Cadre aluminium solide conçu pour recevoir rapidement, sans outil, différents accessoires : rack avant pour le shopping, longue selle façon banquette (besoin d’emmener un passager ?), porte-bagages traditionnel ou siège enfant.
Un des points les plus audacieux : sa transmission par courroie, non connectée mécaniquement au pédalier. On parle ici de pédalage électronique : votre effort est converti en information électrique pour le moteur. Sceptique ? Même Cixi l’a déjà expérimenté sur son PERS. L’énergie de vos mollets n’est pas gâchée : elle recharge la batterie via un générateur, secondée par des freins régénératifs qui freinent l’usure et augmentent (un peu) l’autonomie.
Le TM-B propose aussi plusieurs modes : le mode Auto où vous fixez juste votre cadence de pédalage et le vélo s’occupe du reste, ou le mode Manuel, qui simule les vitesses. Pour compléter le tableau, un système d’accélération par gâchette vous propulse à 32 km/h, le maximum légal aux États-Unis, sans avoir à pédaler (et respect des lois locales possible via reprogrammation, ouf !).
Puissance, autonomie et cerveau numérique embarqué
Voici ce qui pourrait bien rendre vos trajets quotidiens bluffants :
- Moteur maison ultra-puissant : couple maximal annoncé à 180 Nm (rien que ça), de quoi gravir des pentes jusqu’à 30% d’inclinaison.
- Multiplicateur d’assistance de x5 à x10 selon la version.
- Batterie amovible avec port USB-C : recharge rapide jusqu’à 240 W, utilisable aussi comme powerbank pour téléphones ou PC. Deux tailles : l’une pour 96 km d’autonomie, l’autre jusqu’à 160 km.
Au cœur, un logiciel propriétaire signé Also, qui chapeaute tout : gestion moteur, affichage sur grand écran circulaire placé sur la potence, mises à jour à distance et interface mobile ludique.
Côté sécurité, service optionnel Connect+ avec :
- GPS temps réel
- Alertes de sabotage
- Verrouillage/déverrouillage à distance
- Suivi du vélo depuis l’application
C’est la philosophie du « pédalage numérique », une expérience ajustable à l’infini. Mais quelques mystères demeurent : poids du vélo, vraie efficacité énergétique, comportements en cas de panne sèche de batterie… On attend les réponses !
Plateforme, accessoires et disponibilité : la vision Also
L’ambition d’Also ne s’arrête pas au simple vélo, mais vise une logique de plateforme complète de micromobilité. On retrouve :
- Deux versions haut de gamme disponibles printemps 2026 à 4500 dollars
- Une version Standard (petite batterie, assistance x5, fourche moins performante), en fin d’année 2026, à un tarif encore secret.
- Un casque Alpha Wave assorti, high-tech : éclairage avant et arrière, quatre haut-parleurs, deux micros à réduction de bruit, maintien à sangle rigide, audio guidé, appels et musique synchronisable avec votre smartphone.
Conclusion : un vélo qui suscite l’enthousiasme… et attise la curiosité !
Le TM-B d’Also s’avance comme un OVNI sur le marché du vélo électrique. Puissant, modulable, bourré d’innovations, il arrive auréolé du label Jony Ive pour faire bouger les lignes. Reste à voir comment il tiendra toutes ses promesses à l’usage. Pour les plus impatients, un conseil : surveillez votre agenda en 2026, et attendez-vous à ce que l’avenir de la mobilité urbaine ait des airs de science-fiction, version deux-roues !







