Cet article fait partie d'une série intitulée «Une lettre d'amour à…», où les écrivains hebdomadaires du cyclisme versent des éloges sur leurs aspects préférés du cyclisme. Le contenu ci-dessous n'est pas filtré, authentique et n'a pas été payé.

Je ne suis pas construit comme un grimpeur naturel. Je ne suis pas léger, pour commencer, et cela ne changera pas de sitôt. Mon torse est plus long que mon corps, et je n'ai pas la grâce de certains de mes amis, qui semblent étouffer les ascensions. Je sais que je suis un cycliste assez fort, mais c'est quelque chose sur lequel je réfléchis souvent alors que je me propage des collines. C'est souvent une mouture, pas une glisse.